Nous vous présentons l’ invité surprise à notre pique-nique!
Qui voulait uniquement partager avec Sophie !
Pour info, le bébé du Lama s’appelle le Cria
Nous vous présentons l’ invité surprise à notre pique-nique!
Qui voulait uniquement partager avec Sophie !
Pour info, le bébé du Lama s’appelle le Cria
Jeremy nous a montré un élevage de cerf .
dans un grand parc boisé prés de la 2 voie
Ils étaient beaucoup trop nombreux pour les compter.
Ils sont venus nous voir . On les a presque caressé!
Nous sommes parties de la ville de Salies de Béarn en direction de Escos par la voie verte.
Jolie balade ombragée de 12 kms (pensez toujours à bien vous chausser!!!), sur l’ancien tracé de chemin de fer (ligne Puyoo/Saint Palais).
Nous sommes arrivées au pont de Castagnède dont Gustave Eiffel est le constructeur. Entièrement métallique, il a été construit en 1878 et enjambe le gave d’Oloron ; il permettait autrefois de rejoindre Saint Palais ou Mauléon en train.
Nous avons vu de belles maisons en pierre ainsi qu’une oie prenant son bain……
Très belle journée, à refaire en partant plus tôt!!
VISITE D’ARNAGA
L’auteur de Cyrano de Bergerac, a planté dans un écrin de verdure la maison de ses rêves.
Le jardin à la Française de la maison d’Edmond Rostand avec parterres fleuris, pergolas et pièces d’eaux, à travers des allées d’hortensias et un parc boisé.
A l’intérieur de la villa, une collection originale d’objets et d’œuvres d’art évoque le célèbre écrivain et sa famille.
Balcon de la pièce de réception.
Gérard Depardieu a obtenu le César pour le rôle de Cyrano de Bergerac et en a fait don à Arnaga.
Edmond Rostand dans son bureau ( la statue en cire vient du Musée Grévin ).
Sauriez-vous trouver la particularité de cette pendule ? et pourquoi ?
Ce grand bassin a été réalisé d’une façon qu’il fasse miroir avec la maison.
La femme d’Edmond Rostand, Rosemonde Gérard est l’auteure du fameux poème : « Car vois-tu, chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. »
Départ de Dax pour la journée. Premier arrêt à l’église Saint Pierre de Nerbis et sa jolie place.
Nouvel arrêt pour le pique-nique au bord de l’étang de Nerbis où il fait une chaleur accablante et pas un brin d’ombre pour échapper à la vigueur du soleil. Nous nous installons tout de même pour avaler nos victuailles et notre eau si précieuse et rafraîchissante.
Nous avons rendez-vous à 14h30 au moulin à eau de Poyaller situé à Saint Aubin près de Mugron. Les propriétaires nous font bon accueil et nous invitent à suivre le jeune guide qui nous distribue des seaux remplis de maïs et nous amène jusqu’au parc animalier ( 7 hectares ).
Nous suivons un sentier et découvrons sur notre droite un petit bassin aux couleurs multiples. Les fleurs sont aussi de la partie : iris, hortensias, rosiers …
Nous venons découvrir et observer des dizaines d’animaux. Ah ! une jolie poule blanche caquette à notre arrivée et nous dit bonjour les amis ! et continue imperturbable à chercher des vers.
Nous nous rendons compte d’un coup, qu’un canard à belle robe verte et noire suit nos pas tel un détective à l’affût du moindre faux pas ! . Non ! ce n’est pas Daffy Duck malgré la ressemblance.
Les biches blanches ne sont pas farouches se laissant caresser et tirer le portrait sans toutefois oublier de piocher dans nos mains le maïs qu’elles ont vite repéré.
Les chèvres miniatures nous font littéralement craquer.
Un magnifique cerf blanc âgé de 7 à 8 ans imposant par ses bois qui tombent chaque année et qui sont véritablement le prolongement de l’animal. Les cervidés vivent en troupeau.
Tous ces animaux demandent de l’espace afin de retrouver au mieux leur milieu naturel et favoriser les naissances. Deux faons blancs jumeaux issus d’une biche blanche ont vu le jour, phénomène très rare.
Notre jeune guide évoque avec minutie et le sourire, les noms des animaux car pour la plupart, ils viennent de pays lointains : Australie, Amérique du Sud …. les wallabies, les alpagas …
L’origine du moulin remonte probablement au XIIIe siècle. Au milieu du XXe siècle, le monde rural connaît des changements. A Poyaller, le meunier est obligé de moderniser le moulin. L’activité meunière est définitivement arrêtée en 1967.
En 1994, les propriétaires actuels remettent le moulin en fonctionnement et en font un lieu de visite, montrant aux nouvelles générations comment les anciens produisaient la farine avec comme seule source d’énergie, l’eau de la rivière.
Nous avons vraiment aimé la visite de ce moulin, véritable bijou d’ingéniosité.
Le matin, sous un soleil radieux, nous avons marché dans les jardins d’Abbadia (Hendaye) : en bord de mer, sur des sentiers tortueux et boueux (Quelle bonne idée le Gratte Semelle), on se serait cru en Irlande. Nous avons vu des criques, les jumeaux d’Hendayais, des blockhaus, avec une vue imprenable sur la baie de Fontarabie.
Une superbe balade, à conseiller à tout le monde.
En début d’après-midi, nous avons visité le château avec une guide passionnante, dynamique (Milesker Jone !). La façade extérieure est parsemée d’animaux en pierre (clin d’œil à l’Éthiopie où Antoine d’Abbadie a vécu de nombreuses années). A l’intérieur on y trouve des fresques ainsi que des proverbes en basque et en latin.
Un brin d’histoire :
Propriété de l’académie des sciences, ce château-Observatoire nous dévoile le carnet de route d’Antoine d’Abbadie (1810-1897), et de Virginie sa femme, dont la vie fut dédiée à la science, à l’Homme et à Dieu.
Entièrement meublées et restaurées, toutes les pièces du château se visitent. L’observatoire et sa lunette méridienne, la bibliothèque, la chapelle, les chambres, les salons et boudoirs vous promettent un dépaysement oriental, en plein cœur du Pays Basque. Construit entre 1864-1884, d’architecture néogothique, Abbadia est une des rares créations de l’illustre architecte Eugène Viollet le Duc.
Superbe visite accompagnée du GEM de Biarritz, à refaire !
Ce jour, nous allons à la rencontre de la Savonnerie artisanale « Les 100 Ciels » à Tarnos. Nous sommes accueillis tous les six chaleureusement par Valérie qui propose des savons faits à la main par la méthode de saponification à froid. C’est à dire que les ingrédients ne sont pas chauffés afin de garder au maximum leurs propriétés. Méthode qui favorise la qualité à la rentabilité car plus longue contrairement à la saponification à chaud employée par les industriels. Elle optimise les bienfaits des huiles et beurres végétaux biologiques utilisés (huile d’olive, de macadamia, de coco, beurres de karité … et pas d’huile de palme).
D’autre part la méthode à froid garantit la présence de la précieuse glycérine naturellement formée donnant les savons surgras ce qui est un luxe pour la peau. Les huiles, les huiles essentielles, les argiles, les laits, le miel … sont sélectionnés pour leur qualité et leur origine biologique. Les formules ont étés étudiées et testées pour le résultat voulu.
Les savons sont vendus en tranches, cannelés, blocs … Pour tous les types de peaux : au lait, au miel, aux huiles précieuses, plus de 100 ingrédients sont utilisés pour le bien-être, savons naturels et écologiques.
Valérie organise des ateliers de fabrication de savons par petit groupe et aujourd’hui nous élaborons un savon de Marseille.
Passons maintenant aux travaux pratiques :
Valérie nous a rappelé les règles élémentaires de sécurité :
Nous avons affaire en partie à des produits dangereux, nous voici prévenus.
Très important :
Les manipulations doivent se dérouler dans un lieu ventilé.
Les ingrédients :
Quelques exemples de savons :
Ils sont riches en nutriments essentiels, en vitamines et en minéraux. Ils ont des propriétés régénérantes, raffermissantes, nourrissantes, hydratantes, apaisantes.
Information : Lors du marché de Noël au GEM le 15 Décembre, les savons fabriqués par les adhérents seront en vente.
Page Facebook : https://www.facebook.com/Les-100-Ciels-Savonnerie-Du-Pays-Du-Seignanx-208580339196485/?hc_ref=PAGES_TIMELINE
Aujourd’hui c’est une sortie bicyclette Ondres -> Capbreton et pique-nique avec le GEM de Biarritz. Nous prenons possession de jolies bicyclettes bleues à pois blancs louées par le GEM. Le GEM de Biarritz nous accompagne dans ce périple. La bicyclette est dotée de plusieurs vitesses, d’une selle confortable et pour certaines d’un panier avant. Nous profitons d’une magnifique journée, ciel bleu et pas de vent : c’est l’idéal.
Nous longeons pour la majeure partie du parcours de 13 kilomètres le canal du Boudigau et roulons en permanence sur les pistes cyclables … En toute sécurité, loin des voitures. Nous croisons essentiellement d’autres cyclistes qui vont à bonne allure. La piste est plate sans montées, nous chevauchons notre cheval de fer au galop, c’est l’extase ! La nature, le soleil et nous. Parmi nous, il y a des Poulidor qui s’ignorent, des Bernard Hinault et le peloton.
Le peloton reprend du nerf pour l’instant puis lâche à nouveau et suit son petit bonhomme de chemin. Chacun y met de ses forces et se laisse porter au gré du vent. Nous voilà arrivés à Capbreton pour un pique-nique en bord de mer.
Nous garons nos bolides et attachons nos montures les unes aux autres. Nos muscles crient un peu au secours, il faut se ménager pour le chemin du retour. Nous dégustons nos sandwichs et finalement les dévorons avec rapidité. La bicyclette ça creuse!
La mer est calme, nous apercevons quelques bateaux de pêche qui rentrent au port, c’est bientôt marée haute. D’un coup nos animatrices sont assaillies par les mouettes, moineaux, pigeons et autres volatiles, ils sont à l’affût de la moindre miette ou veulent simplement attirer l’attention.
C’est l’heure de repartir. Nous enfourchons à nouveau nos deux roues pour le chemin du retour. La verdure nous entoure et brille de mille feux. Couleurs de l’automne, jaune d’or, rouge cuivré …Magnifique!!!
Nous avons parcouru une distance totale de 26 kilomètres, nous sommes fiers car nous ne sommes pas des « Aficionados » de la petite reine.
Notre sortie du jour nous amène à visiter le Musée de la vie rurale en Pays Landais à Laluque.
C’est une maison à colombages du XIXe siècle qui montre de par son agencement, sa décoration, son mobilier, la vie quotidienne des paysans de 1850 à 1940. On découvre leur cadre de vie, leurs métiers et leurs moeurs à travers une multitude d’objets usuels de l’époque.
Trois bénévoles appartenant à une association nous proposent une visite guidée de 1h30. Dans un premier temps nous passons à la salle à manger. Une belle cheminée y trône, celle-ci était autrefois alimentée avec du charbon de moindre qualité (lignite) issu de la mine de Laluque.
Une belle Comtoise simple donne le tic-tac régulier. Dans un coin de la pièce apparait une authentique machine à coudre SINGER. Nos anciens n’oubliaient pas de se tenir au courant des nouvelles nationales en écoutant le poste à galène. Deux placards dissimulent vaisselles et pots divers. Au centre de la salle à manger se trouve la table des repas garnie d’assiettes décorées, de verres biseautés et de couverts argentés, le tout sorti pour de rares repas de fêtes.
Passons maintenant à la cuisine. Là aussi, nous retrouvons une cheminée de plus grande taille pour accueillir chaudron et marmite. Les braises sont utilisées pour mettre en chauffe les fers à repasser en fonte. Sur un mur sont accrochés les ustensiles de cuisine de toutes sortes : louches, râpes, grandes cuillères … élément important de la pièce : la pierre-évier ou souillarde avec une évacuation des eaux usées directement vers l’extérieur (trou dans le mur).
Une grande table rectangulaire bien épaisse accompagnée de chaises empaillées. De grands bols pour le déjeuner du matin s’offraient à nos anciens afin de prendre une solide pitance.
Nous admirons « un youpala à l’ancienne en bois » pour les bambins apprenant à marcher.
A notre gauche, un lave-mains en émail gris est fixé au mur avec un réservoir et un receveur d’eau.
Vient maintenant la chambre : un lit agrémenté d’un oreiller, de draps et d’un édredon. Des photos de mariage, des images pieuses et une croix nous rappellent qu’à cette époque les gens étaient très croyants et pratiquants. On trouvait dans chaque pièce un élément de piété.
Dans la pièce d’accueil, on peut voir un très grand tableau sur la campagne Landaise. Deux mules tirant une carriole chargée de bois.
Nous continuons vers la salle de bain. Un baquet en bois en guise de baignoire contenant un récipient plein de braises pour l’eau chaude. Une « douche » est aussi présente. En suivant, nous regardons l’ancêtre de la machine à laver sous forme de tambour que l’on tourne avec une manivelle dans l’eau chauffée.
Le grenier : notre curiosité est à son comble. Le grenier est la caverne d’Ali Baba. Toutes sortes d’outils utiles au gemmeur et au sabotier. On recueillait la résine des pins pour élaborer la térébenthine, la colophane, les savons. Un objet nous surprend : une rampe en forme d’escalier qui servait au gemmeur à aller plus haut sur le pin pour prendre la résine.
Devant nous apparait un établi à fabriquer les sabots. Quelques paires sont présentées.
Enfin des rouets pour filer la laine destinée à rembourrer les matelas.
Nous concluons que nos « vieux », malgré les conditions difficiles de vie au quotidien étaient très ingénieux et ne gâchaient rien. Ils devaient savourer le moindre petit plaisir à sa juste mesure.
Une promenade de 1h30 en barque sur le courant d’Huchet jusqu’à l’île aux chênes est prévue agrémentée au préalable d’un pique-nique au lac de Léon.
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Départ du lac de Léon dans deux barques de six personnes et de deux bateliers nous orientant au milieu des eaux et nous servant de guides.
Nos barques sont joliment décorées et nous donnent une assise confortable. Nos bateliers attrapent les rames et nous commençons notre périple sur le lac qui a une profondeur entre 0.80m et 1.20m, nous avons donc pied sur toute sa surface c’est plutôt rassurant.
Le lac reflète les nuages cotonneux tel un miroir et le silence nous berce et nous apaise. Nos sens sont en éveil. Notre curiosité est à son apogée. Nous voyons au loin, au milieu des nénuphars des cabanes de chasseurs de canards camouflées, chasseurs utilisant comme appâts des canards en cages et des faux canards sur l’eau.
Enfin nous entrons dans le courant d’Huchet, une véritable « Amazonie Landaise ». La végétation semble nous avaler au fur et à mesure que nous avançons par endroits, nous devons presque baisser la tête. Fougères royales, arbres de toutes sortes, herbes folles, houx, cyprès chauves, arums, certains arbres ont leurs racines dans l’eau comme les mangroves
.
La faune est aussi importante : canards, hérons cendrés, oiseaux, ragondins, loutres.
Le courant se rétrécit encore et encore … Nous avons en ligne de mire un petit barrage avec un rapide. Des remous s’annoncent, les deux barques tanguent un peu, notre appréhension est là. Nous glissons simplement sur le rapide et sommes fiers de notre courage. Nous atteignons l’île aux chênes, notre but. Nous voilà déjà sur le chemin de retour, cette fois-ci remontant le courant, nos bateliers ont échangé les rames pour les perches. Nous retrouvons nos sensations :
Cette osmose de la terre, du végétal et de l’eau.
Nous avons adoré cette sortie totalement dépaysante, on oublie tout. On a simplement envie d’y retourner.